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Le temps d'un souffle, je m'attarde de Roger Zelazny

  Voilà, c'est la fin du monde. Ouf, elle est enfin arrivée, nous ne l'attendions plus. Des machines sont encore là pour gérer les flux et processus devenus inutiles. Les machines machinent, comme d'habitude. L'une d'entre elles tombe sur des vestiges de feue la domination humaine. Elle ne découvre uniquement que de la bonne came : outils traditionnels, bons livres, tableaux, j'en passe des vertes et des pas mûres. Je rappelle que  Zelazny  écrivit cette nouvelle en 1966. L'espèce humaine ne pouvait donc pas encore laisser derrière elle des serveurs informatiques bourrés de merde. Mais passons. Un des robots, sans doute quelque peu désoeuvré, commence à s'éprendre de l'Homme. Il veut s'imprégner de l'essence humaine, il veut en connaître la nature, il aspire peut-être même à devenir Homme lui-même. le robot, déjà, se montre un peu plus que machinique, témoignant d'une envie non programmée : nous entrons dans le fantastique. Mais passons.

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